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Bilan saison 09 de l'Autriche (ou un peu de lecture pour les dgs éliminés)

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Bilan saison 09 de l'Autriche (ou un peu de lecture pour les dgs éliminés) Empty Bilan saison 09 de l'Autriche (ou un peu de lecture pour les dgs éliminés)

Message par Autriche Sam 3 Oct - 15:02

Comme à chaque année, l’Impérial a connu une saison en deux temps; une saison très satisfaisante et un échec retentissant en séries.
Mais commençons par le début. L’Autriche a connu une excellente saison, une des ses meilleures dans son histoire. Avec une fiche de 39victoires, 24défaites et 9 matchs nuls, l’équipe a terminé au 2e rang européen, et au 4e échelon dans la ligue. Seules les saison 02 et 06 furent meilleures, alors que le clubs cumula 88 points. Mais c’est assez bon pour ajouté un 3e titre de division dans les hauteurs du Austrian Center. Peu de club peuvent en dire autant.
L’équipe a surtout été très solide à 5vs5. En effet, avec 223 buts pour, l’équipe revendique le 10e rang dans la ligue, mais surtout, avec 193 buts contre, l’équipe occupe le 3e échelon de la LIHS.
Ce sont les unités spéciales qui en ont un peu arrachées : Powerplay 13,6% (16e) et penalitie kill 84,8% (18e).
Sommes, l’équipe a su être régulière, connaissant ses hauts et ses bas, sans jamais quitter le top 6 européen. Et une bonne fin de saison a permis de décrocher le titre.
Petite note d’histoire, l’Autriche a participée à 7 des 9 éditions des séries de la LIHS, et à sa 4e série de suite. Là aussi, peu de club peuvent en dire autant. Mais l’équipe demeure guère plus qu’un figurant de premier plan à cette étape.
Justement, parlant des séries, ce fut encore l’ombre au tableau. D’entré de jeu, une série contre Zurich s’annonçait difficile. Le club suisse demeure l’équipe européenne avec le plus de succès à cette étape, et les affronté n’est jamais une mince affaire (sauf pour Rome, semble-t-il…). Dès le début, Ted Nolan avait avertie ses joueurs qu’il fallait qu’ils se méfient et qu’on aurait besoin de l’effort de tous pour arriver à éliminer l’équipe Suisse. Durant les quatre premiers, cela se passa bien. Malgré une série égale 2 à 2, les deux équipes luttaient fort match après match. Mais alors que la blessure de Michal Barinka, le défenseur le plus talentueux de Zurich, aurait pu représenter un point tournant en faveur de l’Impérial, c’est l’ardeur et la ténacité des Prédateurs qui a coulé l’Autriche durant le 5e match. Face à des Peter Budaj et Vesa Toskala trop bombardé et face à quelques vétérans qui ont décidés d’abandonnés leur co-équipiers, l’Autriche s’est incliné facilement. Encore une fois, l’équipe devra apporter des changement durant l’été.
Mais malgré tout cela, Ted Nolan a mérité une prolongation de contrat de 2 ans. Il est le seul entraineur de la franchise à ne jamais avoir raté les séries, en 3 ans sous son règne.

C
Nik Antropov (71pj- 20b- 35a- 55p- 113MIN- +12 -8pp-1pk-3bg)
(en série : 6pj- 1b- 2a- 3p- 4MIN- -1)
Prix Dieter Kalt Se (meilleur joueur Autriche en unité spéciale)

Mine de rien, Antropov en ait à sa 3e saison de suite avec au moins 54 points. Ça mérite le respect.
Sans être le centre le plus doué le la ligue, Nik est assez intelligent pour tirer le maximum de ses capacités et de sa taille. Il est entièrement dédié à ses ailiers, qu’il sait faire produire. Il s’impose de plus en plus comme un des bons leaders de la ligue. Il doit en grande partie cette éclosion à Ted Nolan, qui sait comment l’utiliser et qui n’hésite pas à l’utiliser à toutes les sauces. Si l’Autriche avait plus de Nik Antropov, peut-être qu’on irait plus loin en série.
Justement, parlant des séries, Antropov n’a pas réussi a transporter son aisance durant les match contre Zurich. Il a travaillé fort à tous les matchs et à toutes ses présences, mais rien n’en a résulté. Et malgré ses nombreuses tentatives pour brasser le vestiaire lors des dernièrs matchs, il a été impuissant. Il fait pourtant partie des quelques joueurs qui n’ont vraiment pas digéré la défaite et qui demande des compte à l’organisation.

Marcel Goc (68pj- 14b- 31a- 45p- 37MIN- +13- 1pp-2pk-2bg)
(en série : 6pj 3b- 4a- 7p- 0MIN- -1- 1pp)

Le centre allemand a connu un début de saison fulgurant entre Palffy et Jagr. Mais lorsque le gros joueur thèque s’est blessé, il a beaucoup ralentit. Au final, il a connu une saison ordinaire, où il a fait son travail de centre, entre Palffy et Nystrom, mais où il a été incapable de faire scintiller la lumière rouge très souvent… Il a néanmoins contribué au succès de l’équipe, à sa façon. Récoltant quand même une nomination pour le Frank J. Selke, il a fait ce qu’il pouvait. N’étant pas un joueur très agressif, c’est mieux que rien.
Par contre, en série, ce fut une explosion. Formant un duo redoutable avec Zigmund Palffy, il a su faire mal à Zurich avec sa vitesse et son habilité. Mais ça n’aura pas suffit.

Rickard Wallin (69pj- 9b- 17a- 26p- 32MIN- +12, 1pp-1pg-1bé)
(en série : 5pj 1b- 1a- 2p- 0MIN- 0)

Sans être un joueur hyper productif, Wallin a fait un bon travail sur le 3e trio. D’avantage un passeur qu’un buteur, il encadre bien les jeunes Jämtin et Johansson. Et son talent défensif a bien aidé l’équipe, tant à 5vs5 qu’à 4vs5. Bref, il a pleinement remplis son rôle de vétéran.
En série, il a fait son travail discrètement, mais sans avoir vraiment d’incidence sur la série. On aurait peut-être aimé qu’il monte son jeu d’un cran, mais il n’est pas à blâmer non plus.

Blair Betts (72pj- 10b- 6a- 16p- 16MIN- -2 -2pp-2pk-3bg)
(en série : 6pj- 0b- 1a- 1p- 2MIN- -1)
Fidèle 4e centre de l’équipe, Betts ne se fait jamais remarquer, mais il est sûrement un des plus solide centre défensif de la ligue. Il connait son travail et il sait quoi faire pour que son entraineur soit heureux. Il a aussi le don d’inscrire des buts importants. 10 buts, dont 2 en powerplays, 2 en penalitie kill et 3 buts gagnants, ce n’est pas rien.
Malheureusement, il n’a pas réussi a transposé son talent de buteur contre Zurich. L’équipe en aurait eut besoin. Mais il a peu joué aussi.

Lw
Tomas Vanek (72pj- 27b- 23a- 50p- 26MIN- +16 – 5pp- 5bg, 3bé)
(en série : 6pj- 2b- 2a- 4p- 0MIN- -2)
Prix Schwarzenegger (meilleur attaquant Autriche)
Prix Österreinch (meilleur joueur autrichien/allemand/hongrois Autriche)

À regarder ses récoltes de points, on pourrait croire que Vanek régresse. Cela fait 3 saisons de suite qu’il récolte au moins 50 points, passant de 52 points lors de la saison 7, à 51 points durant la saison 8, puis 50 cette saison. Mais ses productions de buts sont passé de 23 (S7), à 17 (S8), à 27(S9).
Vanek ne sera jamais un joueur de concession, mais il semble enfin avoir éclos cette saison. Du moins, comme buteur. Avec un joueur du talent de Jaromir Jagr, il n’avait plus besoin d’en faire autant pour transporter la rondelle. Il pouvait se concentrer à marquer des buts. Il ne lui reste plus qu’à atteindre les plateau des 30 buts, pour enfin être reconnu comme un des plus dangereux buteur de la ligue.
En série, Vanek a donné ce qu’il avait, mais ça na pas suffit. Après un 1er match du tonnerre (2buts-1aide), la défensive suisse a bloqué son numéro et on anéantie sa production. Comme le fait foi sa maigre passe durant les 5 autres matchs.

Erik Nystrom (72pj- 20b- 24a- 44p- 204MIN- +11 -7pp- 1pk- 3bg- 1bé)
(en série : 6pj- 3b- 0a- 3p- 10MIN- -1)
Prix Friz lang (4e étoile Autriche)

Après avoir tenté sa chance dans plusieurs clubs, Nystrom a enfin réussi à faire son nid avec l’Autriche. Attaquant énergique mais avec beaucoup de talent, il a fait un complément idéal au plus techniques et moins robustes Marcel Goc et Zigmund Palffy.
Certes, 20 buts et 44 points, ce n’est pas une production explosive pour un joueur de 1er trio, mais c’est très honorable pour lui. Il aurait quand même fait très belle figure dans des clubs comme Paris, Las Vegas ou St-Peterbourg.
Joueurs robuste, il vient au 10e rang dans la ligue au chapitre des minutes de pénalités (avec quand même 190 minutes de moins que le leader Barret Jackman). Mais fait rare, il n’a pas tendance à prendre de mauvaises pénalités, mais des pénalités à la suites de gestes pour défendre ses co-équipiers ou pour réveiller l’équipe.
Il a connu par contre un lent début de série pour être plus efficace à la fin. Mais ça n’aura pas suffit à vaincre la machine suisse.

Jonas Johansson (73pj- 7b- 7a- 14p- 63MIN- 0, 1pp, 1bé, 1bg)
(en série : 6pj- 0b- 2a- 2p- 2MIN- -1)

Bien qu’il roule sa bosse depuis les débuts de la ligue, Jonas Johansson est un autre joueur qui n’a toujours pas réussi à s’imposer. Arrivé en Autriche avec Chara, l’organisation compte être patiente avec cet ailier de 24ans. Car il a tout pour réussir : un bon coup de patin, de bonnes mains, une bonne éthique de travail et beaucoup d’énergie. Il ne lui reste plus qu’à trouver ses repères.
En série, il a fait partie de ces joueurs qui ont travaillé fort, mais n’ont pas obtenu de résultat.

Radovan Somik (71pj- 4b- 9a- 13p- 8MIN- -6, 1bg)
(en série : 6pj- 1b- 0a- 1p- 4MIN- +1)

Signé cet été pour remplir un rôle d’ailier défensif sur le 4e trio, Somik fait merveilleusement bien son rôle. À l’instar de son compagnon de trio Blair Betts, son travail consiste à exceller sur le plan défensif et à jouer sur le PK. Ce que les deux font très bien, étant un des meilleurs duos de la ligue à ce chapitre. Les points qu’il va chercher de temps en temps sont des bonis.

Rw
Jaromir Jagr (72pj- 22b- 43a- 65p- 16MIN- +28- 2PP- 3bg, 1bé)
(en série : 6pj- 0b- 6a- 6p- 3MIN- 0)

La saison de Jagr est très complexe, et un peu à l’image de l’équipe. Sans n’avoir jamais vraiment dominé durant la saison, il a été assez régulier pour récolter des points régulièrement, afin de décrocher la 1er place des pointeurs de l’équipe (20e dans la ligue, 9e meilleur passeur, 6e meilleur rw). Le succès de Jagr est surtout venu du fait qu’il jouait avec deux joueurs (Vanek et Antropov) qui sont doués offensivement et qui n’ont pas peur de se salir. Le gros ailier thèque n’avait plus qu’à leur préparer les jeux et refilé la rondelle. Mais il a quand même récolté 108 hits, signe qui n’a pas hésité a donner un petit coup d’épaule de temps en temps.
Mais le problème de Jagr est venu en série, où il a refusé d’élever son jeu d’un cran. Après une longue saison, il ne voulait pas risquer de se blesser, ce qui explique son très maigre et inacceptable 6 hits et son absence de but. En série, alors que Vanek, Chara, Antropov et même Magnus Jahansson acceptaient de saigner pour l’équipe, lui, se préservait. Ce manque d’implication lui a permis de s’aliéner tous ses co-équipiers. Cela en une seule saison et après avoir été l’attaquant le plus productif en saison… Il faut le faire.

Zigmund Palffy (72pj- 28b- 32a- 60p- 50MIN- +8 -6pp- 4bg)
(en série : 6pj- 2b- 7a- 9p- 16MIN- -1, 1bg)
Prix Anton Sailler (meilleur joueur en série Autriche)

Si Palffy a aussi été très régulier dans sa production, il a été nettement plus spectaculaire en fin de saison. Meilleur buteur de l’équipe, il a formé un trio très dangereux avec l’habile Marcel Goc et l’énergique Eric Nystrom. Il est loin d’avoir démérité sa place au match des étoiles. Même si Palffy n’a plus l’énergie pour dominé la ligue, il demeure encore un excellent vétéran qui peut encore récolter facilement 25 buts et 60 points par saison.
Après des premiers matchs difficiles, Palffy s’est réveillé en Suisse pour devenir le joueur le plus dangereux de l’équipe dans la série. À l’inverse de Jagr, Palffy a accepté de souffrir pour l’équipe et d’allez à la guerre. Et cela même s’il n’a pas le physique de la merveille thèque.

Andreas Jämtin (72pj- 12b- 18a- 30p- 67MIN- +10- 4pp, 1bg)
(en série : 6pj- 2b- 0a- 2p- 0MIN- +3, 1pp)
Prix Frank Schubert (meilleure nouveau venu/recrue Autriche)

Repêcher en 4e ronde au derniers repêchage, Jämtin a connu un excellent calendrier de pré-saison, pour se tailler un poste sur le 3e trio. Malgré son talent plus limité, mais il compense par le cœur et le travail, il a connu une belle saison. Il figure quand même au 6e des pointeur chez les recrues de la Ligue. Son +10 et ses 4 buts en avantage numérique sont encore plus impressionnant pour un joueur de son rang.
En série, il a travaillé fort, mais il n’a pas été en mesure d’apporter la différence que nous aurions cru qu’il aurait pu apporter.

Thomas Koch (51pj- 7b- 6a- 13p- 16MIN- +4, 1pp- 1bg)
(en série : 1pj- 0b- 0a- 0p- 0MIN)

Thomas Koch est vraiment un cas de joueur sortie de nulle part pour voler un poste sur l’équipe. Rappeler en début de saison pour faire de l’espace pour un éventuel échange qui n’a pas eut lieu, l’attaquant autrichien n’a pas donné le choix à l’équipe de le garder. Celui qui s’est imposer lors les saisons dernières comme un des meilleurs attaquants du circuit farm a réussi à cumuler au moins 1 points à ses 5 premiers matchs (2b-4a). Il reste un joueur de 4e trio, mais il a remplis son rôle à merveille.
Koch a peu joué en série, alors que Ted Nolan lui a préféré l’énergique Pär Bärker. Ce derniers à bien fait, d’ailleurs.

D
Vitaly Vishnevski (71pj- 12b- 26a- 38p- 157MIN- +7, 1pk, 3bg, 142hits)
(en série : 6pj- 1b- 5a- 6p- 4MIN- 0, 1pp, 18hits)

Ignoré pour la 1ère fois en 3 ans pour le match des étoiles, Vitaly Vishnevski a connu surement sa meilleure saison début qu’il s’est joint à l’organisation de l’Impérial. Il a connu un début de saison plus lent, mais s’est bien repris par la suite. L’arrivé de Chara lui a enlevé beaucoup de pression, ce qui l’a aidé.
Certes, il ne sera jamais le défenseur le plus spectaculaire, ni le plus dominant de la ligue, mais il est solide et complet. Il figure sans l’ombre d’un doute parmi les 15 meilleurs défenseurs de la Ligue.
Comme à son habitude, il a été le meilleur défenseur des siens en séries. Mais, pour lui aussi, ça n’aura pas suffit.

Thomas Pöck (72pj- 3b- 25a- 28p- 68MIN- +17 - 84 hits)
(en série : 5pj- 1b- 0a- 1p- 2MIN- -3, 1bg, 6hits)
Prix Freud (meilleur joueur défensif Autriche)
Prix Joseph II (amélioration Autriche)

Pöck revient de loin. De très loin. Après avoir connu une saison cauchemardesque l’an passé, il a agit en vrai professionnel, faisant passer l’intérêt de l’équipe avant le sien. Et à force d’effort, il a retrouvé son ancien lustre, qui n’était pas partis très loin. Certes, 28 points et +17, ce ne sont pas des statistiques de joueurs étoiles, mais considérant sa saison cauchemardesque de l’an passé (39pj-2b-8a-10p, -4), c’est surement un des beau retour de la ligue. Thomas Pöck, surtout reconnu pour son flair offensif et son coup de patin, demeure un défenseur solide dans tous les aspects du jeu. Il a surtout le don de s’adapter à tous les types de défenseurs à qui ont le jumelle. Car il a joué avec tous les défenseurs de l’équipe, en étant toujours aussi solide. Par-contre, il n’a pas été en mesure de vraiment relancer un trio.
En série, il a travaillé fort, se faisant même casser la mâchoire, mais il n’est pas parvenus à faire gagner son équipe.

Zdeno Chara(68pj- 7b- 24a- 31p- 158MIN- -2 -1pp, 2bg, 178 hits)
(en Autriche: 25pj-1b-5a-6p- 44MIN- +3, 1pp, 1bg)
(en série : 6pj- 1b- 1a- 2p- 10MIN- -1, 24hits)

Avec les déboires de Bryce Lampman, l’organisation se devait de trouver un défenseur solide pour relancer la brigade défensive. Après de longues recherches, l’équipe s’est tournée vers le voyageur slovaque Zdeno Chara. Jadis un des meilleurs défenseurs de la ligue, récipiendaire de Norris lors de la saison 4, Chara a connu une saison très difficile lors de ses passages aux Bermudes et à Zurich. Et il a connu un départ très lent en Autriche, avant de joué de façon beaucoup plus inspiré en fin de saison. Il faut quand même noter que la seule place où il a fini dans les +, c’est en Autriche. Mais il n’a pas à s’inquiété, il a trop de talent pour quitter l’Autriche.
En série, Chara a tenu son bout contre ses anciens co-équipiers, et a joué son rôle de vétéran physique. Il aurait pu inscrire plus de point, mais il serait injuste de la blâmer.

Roman Hamrlik (72pj- 6b- 20a- 26p- 88MIN- +11, 2bg, 1bé, 137hits)
(en série : 4pj- 0b- 1a- 1p- 11MIN- +2, 3hits)

Roman Hamrlik est un défenseur fascinant. Il a connu une première moitié de saison très tranquille. Mais comme s’il préservait son énergie pour plus tard, il a exploser en 2e moitié de saison. Il a formé un duo, avec Vishnevski, redoutable. À son âge, il a compris qu’il ne pouvait pas jouer à 100/h durant 72 matchs. Il a dont attendu le bon moment pour charger.
Blessé lors du dernier match de la saison, Hamrlik est arrivé dans la série avec du retard. Retard qu’il n’a jamais pu rattraper. Il faut dire qu’il jouait, même si sa blessure n’était pas totalement guéri.

Magnus Johansson (55pj- 4b- 23a- 27p- 23MIN- +4, 1bg, 71 hits)
(en série : 6pj- 0b- 2a- 2p- 2MIN- -1, 11hits)

Manquant cruellement d’un défenseur offensif digne de ce nom sur son 2e trio, l’Autriche a fouiller toute la ligue pour en trouver un. Devant l’absence de solution, l’équipe s’est encore tournée vers les circuit européens pour trouver le défenseur recherché. Après Jonas Frögren l’an passé, l’équipe a signé le vétéran suédois Magnus Johansson. Dès son arrivé, il a redonner du souffle à l’offensive de l’équipe et au powerplays. Il est parvenu à inscrire 10 points lors de ses 12 premiers matchs. Depuis, il a un peu ralentit, mais il demeure une belle acquisition pour l’équipe et une arme offensive de qualité. S’il avait joué 72 parties, il aurait quand même fini avec 35 points, ce qui aurait été le 2e meilleur résultat chez les défenseur du club.
En série, Johansson s’est étonnement beaucoup impliqué physiquement, mais il n’a pas fait son travail offensif. C’est une tache, mineur, à son dossier.

Kenny Jönsson (70pj- 6b- 16a- 22p- 57MIN- +19, 90 hits)
(en série : 6pj- 1b- 0a- 1p- 0MIN- -4, 8hits)

En saison, Jönsson a été un très bon défenseur de 3e trio, solide, polyvalent et qui contribue au succès de l’équipe de différente façon. C’est les joueurs comme lui et Pöck qui ont permis au club de terminer avec un bilan aussi avantageux en défense et un gardien aussi confiant. C’est sûr qu’à 2M par saison, il est naturel qu’il fasse son rôle. Mais c’est le prix à payer pour l’efficacité.
En série, Jönsson a été comme tous les joueurs du 3e trio : invisible. Il n’a pas eut l’impact qu’il aurait du avoir, même si ce n’est pas par manque d’effort. Mais un vétéran comme lui aurait du être beaucoup plus solide.

G
Peter Budaj (60pj- 33v- 18d- 8n- 155bc- 3440min- 2,70 moy- 0,905%- 1bl- 2a, 4MIN)
(En série:5pj- 2v- 3d- 18bc- 293min- 3.69moy- 0,871%- 0bl- 0a)
Prix Mozart (meilleur joueur Autriche)

Peter Budaj a connu un début de saison exceptionnel, où il se dirigeait vers plusieurs honneurs. En cours de route, son feu s’est un peu attisé. Mais il a quand même prouvé, du moins cette saison, qu’il faisait partie des 10 meilleurs gardiens de la Ligue. Voir des 5 meilleurs. Après tout, il est le seul gardien a être présent parmi les meneurs de la plupart des statistiques : moyenne (2,70) 9e, pourcentage (0,905), 6e, victoires (33), 3e, points d’étoiles (70) 8e.
Budaj devient le 3e gardien de but de l’organisation (après Mika Noronen et Thomas Vokoun) à remporter le titre de joueur le plus utile de la saison. Honneur qu’il mérite amplement, car ce 3e titre de division, l’équipe le doit à Budaj. Sans lui, l’Impérial se serait battu pour une place en série, au lieu de se battre pour le titre de champion européen. Oui, Budaj a eut une bonne défense devant lui, mais cette défense à aussi été sauvée plusieurs fois par le gardien slovaque.
L’organisation lui a témoigné toute sa confiance en début de saison, et il a très bien répondu.
Par contre, en série, il n’a pas eut le même brio. Avec devant lui une équipe souvent désorganisée et dominée, il n’a pas su faire de miracle. Même si la 2e victoire de l’équipe lui ait très redevable.

Vesa Toskala (33pj- 9v- 16d- 2n- 72bc- 1648min- 2,62 moy- 0,909%- 2bl- 1a)
(En série:2pj- 0v- 1d- 5bc- 85min- 3,53moy- 0,889%- 0bl- 0a)

Chassé de Bratislava par l’arrivée de Martin Brodeur, Toskala sait très bien qu’il est en Autriche comme no2 et comme grand frère pour Budaj.
S’il a très bien fait dans les 1er temps, rester assis au bout du banc trop longtemps lui a nuis en fin de saison. Ses performances lors des derniers matchs, et lors des séries, ont été très ordinaire. Néanmoins, il a réussi a conserver le 2e meilleur pourcentage d’arrêt de la ligue, et la 6e meilleure moyenne. Pas mal pour un gardien no2.
L’organisation sait qu’elle peut compter sur gardien no2 de très haute qualité, et qui rend de très bons services à l’équipe. Il faut juste que Ted Nolan l’utilise mieux et plus souvent.
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Bilan saison 09 de l'Autriche (ou un peu de lecture pour les dgs éliminés) Empty wow!

Message par DgCleveland Dim 4 Oct - 21:27

félicitation pour ton résumé!!!!!!!
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Message par Helsinki Dim 4 Oct - 23:13

Bravo Vincent pour ta belle saison.

Pour Toskala, j'admets que tu as eu du flair en l'obtenant par transaction!
Helsinki
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